Je vois tant de plaisir dans tes yeux d’émeraude
Quand mes mains sur ton corps caressent en maraude
J’y vois des lagons verts et des sables d’argent
Des plages au soleil et des fleurs au printemps
Quand mes mains sur ton corps caressent en maraude
J’y vois des lagons verts et des sables d’argent
Des plages au soleil et des fleurs au printemps
Je vois tant de bonheur sur ta bouche en sourire
Quand à l’émotion de mon cœur en délire
Je viens te murmurer doucement des mots fous
Que mes doigts curieux hantent des lieux doux
Dans tes yeux j’aperçois le reflet ton âme
Quand tu es contre moi et que mon corps s’enflamme
J’y vois bien des désirs que tu veux partager
Je lis de la douceur, une infinie tendresse
J’éprouve des envies que tu sauras combler
Dans les replis soyeux de ta délicatesse
Merci à toi pour ce poëme magnifique ☆¸.•`¯)¸.•
● (¯`•.¸ ☆Simplement être femme ☆¸.• 
Coucou Isabelle
Merci pour ton com et là waouuh tu as reçu et inspiré cela c\’est trop le must
Il est trop joli ce poème tout plein de délicatesse.
Bisou et douce journée pour toi Isabelle.
Douceur des motsDélicatessementTendressementSuavementEperdumentDans l\’infini regardInfiniment aimerSans raisonAu bout de la passiontrès beau ce texte.La Muse a encore frappé.Bises
bonsoir mon amie isabelle je vien et je voi un super bau poém une bele création car elle evec ces yeu d émeaurde et se bau papion quil se pose an douseur merci gros bisous d amitié bonne semaine
Votre don de ces versets, car si un jour mon nom approderà heureusement
parfois lointain des rêves et certains soir, le cerveau des hommes,
bateau soutenu par un grand vent, la mémoire de vous, de
l\’égalité à la vague des contes, des pneus, le lecteur comme un pignon,
et reste accroché comme une mystique fraternelles et anneau à ma rime
machines anciennes exigeant; être maudit par les profondes
profondeurs jusqu\’au plus haut, mais rien ne m\’a répondu! O vous qui
comme une ombre dall\’effimera voie, piétine pied avec la
lumière et le regard serein stupides mortels t\’hanno considéré amer,
métallique statue de la vue, le grand ange de bronze face!KISS KAIN
Votre don de ces versets, car si un jour mon nom approderà heureusement
parfois lointain des rêves et certains soir, le cerveau des hommes,
bateau soutenu par un grand vent, la mémoire de vous, de
l\’égalité à la vague des contes, des pneus, le lecteur comme un pignon,
et reste accroché comme une mystique fraternelles et anneau à ma rime
machines anciennes exigeant; être maudit par les profondes
profondeurs jusqu\’au plus haut, mais rien ne m\’a répondu! O vous qui
comme une ombre dall\’effimera voie, piétine pied avec la
lumière et le regard serein stupides mortels t\’hanno considéré amer,
métallique statue de la vue, le grand ange de bronze face!KISS KAIN
Très beau poème, plein de tendresse et de douceur..
Je te souhaite une agréable semaine.
A bientot :-).
bonsoir a toi mon amie je te fai un coucou an passent et bonne fin de soiré un mervielleux week-end de douseur gros bisous je fil vit mon amitié bisous